Chef de projet / réunion du personnel (en partant du haut, de gauche à droite) :Christie Huff, Bobb Jo Hart, Guy Rodgers, Swati Khanna, Nick Maturo, Deborah Forde, Daniel Webster, Betty Esperanza, Emily Enhorning, Li Li et Sufia Duez.
Photographie : Bobbi Jo Hart
Il y a vingt ans, j’ai été invité à une rencontre d’artistes anglophones tenue à Montréal par le Conseil des arts du Canada et le ministère du Patrimoine canadien. Il en a résulté la création d’un programme d’aide aux artistes en situation de langue minoritaire officielle, cofinancé par ces deux organismes Ce projet a entraîné une profonde réflexion sur l’avenir de la communauté artistique anglophone du Québec, laquelle a mené à un grand rassemblement d’artistes lors du Sommet des arts du Québec en novembre 2004, et enfin à la création de l’English Language Arts Network (ELAN). L’aventure d’ELAN a occupé une partie importante de ma vie au cours des deux dernières décennies, mais il est maintenant temps pour moi de tirer ma révérence. Le nouveau directeur exécutif d’ELAN entrera en poste dès le mois d’ avril. J’ai aimé travailler avec Patrick Lloyd Brennan lorsqu’il était directeur général de la Quebec Drama Federation, et j’ai hâte de l’aider prendre sa place dans l’équipe d’ELAN au cours des prochains mois.
Nous avons créé ELAN sans aucune garantie de succès, mais avec beaucoup de chance et de soutien. Peu de temps après avoir obtenu mon diplôme du programme de dramaturgie de l’École nationale de théâtre, j’ai travaillé avec d’autres jeunes artistes à réinventer la désuète Quebec Drama Federation, et je suis devenu le premier directeur exécutif de cet organisme.
La belle évolution de de la QDF a inspiré un groupe d’écrivains à créer la Federation of English-Language Writers of Quebec (FEWQ). À titre de président de la FEWQ et de QSPELL, j’ai organisé la fusion des deux organismes en un seul, soit la Quebec Writers Federation (QWF). La prochaine étape logique de ce processus d’organisation communautaire était de créer un organisme de coordination multidisciplinaire qui pourrait chapeauter l’ensemble des activités. ELAN a vu le jour de manière incroyablement aisée et rapide, et ce grâce au soutien d’une quantité de personnes compétentes : personnel, conseil d’administration, membres, chefs de projet, partenaires, alliés, collaborateurs et bailleurs de fonds.
J’enverrai un mot personnel à bon nombre d’entre vous pour vous remercier d’avoir contribué à la création d’ELAN et à faire de cette idée de départ un organisme de services artistiques florissant, qui a eu un impact dans la vie de milliers de personnes. ELAN s’est révélé particulièrement bien positionné pour apporter son soutien pendant la crise de la Covid, et je suis certain que l’équipe d’ELAN et son nouveau directeur exécutif continueront de jouer un rôle important lors de la relance difficile du secteur des arts et de la culture qui aura lieu dans les mois à venir.
Ce fut pour moi un immense plaisir et un grand honneur de servir notre communauté à titre de directeur exécutif d’ELAN. En raison de la Covid-19, nous ne pourrons nous réunir en personne lors d’un cinq à sept pour nous remémorer tout ce que nous avons accompli ensemble, mais nous trouverons d’autres moyens pour rester en contact. D’ici là, je vous dis… au revoir.
Il y a vingt ans, j’ai été invité à une rencontre d’artistes anglophones tenue à Montréal par le Conseil des arts du Canada et le ministère du Patrimoine canadien. Il en a résulté la création d’un programme d’aide aux artistes en situation de langue minoritaire officielle, cofinancé par ces deux organismes Ce projet a entraîné une profonde réflexion sur l’avenir de la communauté artistique anglophone du Québec, laquelle a mené à un grand rassemblement d’artistes lors du Sommet des arts du Québec en novembre 2004, et enfin à la création de l’English Language Arts Network (ELAN). L’aventure d’ELAN a occupé une partie importante de ma vie au cours des deux dernières décennies, mais il est maintenant temps pour moi de tirer ma révérence. Le nouveau directeur exécutif d’ELAN entrera en poste dès le mois d’ avril. J’ai aimé travailler avec Patrick Lloyd Brennan lorsqu’il était directeur général de la Quebec Drama Federation, et j’ai hâte de l’aider prendre sa place dans l’équipe d’ELAN au cours des prochains mois.
Nous avons créé ELAN sans aucune garantie de succès, mais avec beaucoup de chance et de soutien. Peu de temps après avoir obtenu mon diplôme du programme de dramaturgie de l’École nationale de théâtre, j’ai travaillé avec d’autres jeunes artistes à réinventer la désuète Quebec Drama Federation, et je suis devenu le premier directeur exécutif de cet organisme.
La belle évolution de de la QDF a inspiré un groupe d’écrivains à créer la Federation of English-Language Writers of Quebec (FEWQ). À titre de président de la FEWQ et de QSPELL, j’ai organisé la fusion des deux organismes en un seul, soit la Quebec Writers Federation (QWF). La prochaine étape logique de ce processus d’organisation communautaire était de créer un organisme de coordination multidisciplinaire qui pourrait chapeauter l’ensemble des activités. ELAN a vu le jour de manière incroyablement aisée et rapide, et ce grâce au soutien d’une quantité de personnes compétentes : personnel, conseil d’administration, membres, chefs de projet, partenaires, alliés, collaborateurs et bailleurs de fonds.
J’enverrai un mot personnel à bon nombre d’entre vous pour vous remercier d’avoir contribué à la création d’ELAN et à faire de cette idée de départ un organisme de services artistiques florissant, qui a eu un impact dans la vie de milliers de personnes. ELAN s’est révélé particulièrement bien positionné pour apporter son soutien pendant la crise de la Covid, et je suis certain que l’équipe d’ELAN et son nouveau directeur exécutif continueront de jouer un rôle important lors de la relance difficile du secteur des arts et de la culture qui aura lieu dans les mois à venir.
Ce fut pour moi un immense plaisir et un grand honneur de servir notre communauté à titre de directeur exécutif d’ELAN. En raison de la Covid-19, nous ne pourrons nous réunir en personne lors d’un cinq à sept pour nous remémorer tout ce que nous avons accompli ensemble, mais nous trouverons d’autres moyens pour rester en contact. D’ici là, je vous dis… au revoir.
Guy Rodgers
(bientôt ancien) Directeur exécutif d’ELAN
