13e Assemblée générale d’ELAN

Le mardi 29 août

Le Gésu, 1200 rue Bleury, Montréal, H3B 3J3

Inscription à 18 h, assemblée de 18h 30 à 20h, réception de 20h à 21h 30

Entrée libre et gratuite !

Nous avons eu une année très chargée, et nous avons hâte de partager avec vous les résultats de notre travail au nom des artistes anglophones du Québec. Nous vous invitons à célébrer notre communauté et à découvrir ce que nous vous réservons pour l’année prochaine. Un goûter sera servi, accompagné d’un service de bar payant. Veuillez confirmer votre présence par courriel à admin@quebec-elan.org.

Cette année, nous avons d’importantes décisions à prendre, qui auront un impact direct sur notre structure d’adhésion. Les professionnels, étudiants et représentants d’organismes qui sont membres d’ELAN et dont le statut sera en règle le 9 août prochain pourront voter au cours de l’AGA. Renouvelez votre adhésion d’ici le 9 août pour vous assurer de pouvoir voter ! Les membres amis et les observateurs ne peuvent pas voter, mais ils sont les bienvenus à la réunion.

Veuillez trouvez les 2017 AGM Motions (EN), Fee Restructure Proposal (EN), Audited Statements (EN), 2016 AGM Minutes (EN).

Reconnaissance des terres

ELAN est un organisme de langue officielle en situation minoritaire dans un pays qui ne reconnaît que deux langues officielles, soit le français et l’anglais. Nos bureaux se trouvent à Tiohtiá: ke, ancien nom de Montréal en kanien’kehá: ka, langue des Mohawks, et la ville était également connue sous le nom de Mooniyang, nom anishinabe que lui avaient donné les Algonquins. Bien que nous soyons basés dans cette ville, nous avons également réalisé des projets dans plusieurs régions du Québec.

Le kanien’kéha et l’anishinabe ne sont que deux des nombreuses langues autochtones liées à notre province, où l’anglais et le français sont des langues coloniales. La province que nous connaissons sous le nom de Québec est née d’une fusion des territoires traditionnels des nations innue et inuite, des nations algonquiennes et des nations mohawks de la Confédération Haudenosaunee. L’atikamekw, le cri, l’inuktitut et l’innu-aimun font également partie des nombreuses langues autochtones autrefois parlées de manière majoritaire au Québec, et cela bien avant l’arrivée du français et de l’anglais.

Nous aimerions souligner l’important travail accompli par les Premières Nations pour faire revivre les langues traditionnelles liées à ces territoires et pour défendre le statut officiel des langues autochtones au Canada.